La violence verbale est utilisée pour intimider, pour humilier ou pour contrôler une autre personne. Elle peut être employée de façon subtile ou au contraire, être très directe. Voici quelques exemples :
- Insulter en utilisant un langage grossier et injuriant.
- Crier et élever la voix.
- Blâmer et reprocher les faits et gestes d’une personne.
- Critiquer et user de railleries ou de propos humiliants.
Le présent document est publié conjointement par le Rapport mondial de suivi sur l’éducation pour tous, l’UNESCO et l’Initiative des Nations Unies pour l’éducation des filles (UNGEI) pour la 59e session de la Commission de la condition de la femme à New York (mars 2015). Ce document de politique fait valoir que les violences de genre en milieu scolaire (VGMS) sont un problème mondial qui empêche les enfants, en particulier les filles, d’exercer leur droit à une éducation sûre, inclusive et de qualité. Il appelle à l’adoption d’une approche systématique et harmonisée pour identifier, suivre et comprendre les VGMS, ainsi qu’à des interventions solides pour élaborer des solutions ciblées afin de s’attaquer efficacement au problème.
Ce document présente le rapport d’un mémoire de stage, rédigé par Mégane Ghorbani Damavandian au cours de l’année universitaire 2011-2012, sur la mobilisation pour les droits des femmes : capacités d’influence féministe dans la transition politique tunisienne, exemple de l’association tunisienne des femmes démocrates, de la ligue tunisienne de défense des droits de l’Homme et de l’association des femmes tunisiennes pour la recherche et le développement.
Ce document présente un rapport sur la violence à l’égard des femmes dans le contexte des transformations politiques et de la crise dans la région Euro-méditerranéenne. Il fait ainsi état de recrudescence de la violence à l’égard des femmes dans la région et présente les principaux instruments disponibles pour prévenir et combattre les violences faites aux femmes et mettre fin à l’impunité. Il examine également l’action de l’Union Européenne, du conseil de l’Europe et des pays arabes dans le domaine de la lutte contre la violence faite aux femmes dans les pays du sud et de l’est de la méditerranée.
A la lumière de cette analyse, ce rapport émet des recommandations à l’intention des principales parties prenantes de la lutte contre la violence faite aux femmes