La violence verbale est utilisée pour intimider, pour humilier ou pour contrôler une autre personne. Elle peut être employée de façon subtile ou au contraire, être très directe. Voici quelques exemples :
- Insulter en utilisant un langage grossier et injuriant.
- Crier et élever la voix.
- Blâmer et reprocher les faits et gestes d’une personne.
- Critiquer et user de railleries ou de propos humiliants.
Le document présente un résumé exécutif du rapport relatif à l’état de l’égalité et de la parité au Maroc-Préserver et rendre effectif les finalités et objectif constitutionnel. Le résumé se présente comme un bilan analytique, dix ans après la réforme du Code de la famille, trois ans après la promulgation de la Constitution et vingt ans après l’adoption par la communauté internationale de la Déclaration et de la Plateforme d’action de Beijing (Beijing + 20).
Ce document présente un rapport sur l’état des lieux de la parité Femmes-hommes au Maroc. Ce rapport a pour ambition de présenter un panorama de la situation de la parité femme-homme au Maroc, en abordant les droits consacrés par le dispositif juridique et réglementaire (Partie I), puis en passant en revue les différents domaines d’application de ces droits en exposant le contexte et les constats, pour ensuite présenter pour chaque thématiques les recommandations proposées par les acteurs de la société civile (Partie II).
L’étude sur les stéréotypes et obstacles socioculturels basés sur le genre analyse l’intégration de l’approche genre dans les différentes politiques nationales et les priorités en matière de lutte contre la pauvreté, de promotion des droits de l’Homme et la prévention des conflits et de renforcement de la cohésion sociale. Ce travail a permis une meilleure compréhension des stéréotypes et des obstacles socioculturels basés sur le genre en axant sur la spécificité des populations étudiées. Le rapport se présente en quatre parties :
La première partie analyse le cadre juridique et institutionnel (national et international) dans lequel s’inscrit la problématique genre et examine l’environnement juridique régional. La deuxième partie traite de la situation générale des femmes dans les différentes communautés ethnoculturelles, de leurs soubassements idéologiques communs et de leurs caractères spécifiques. La troisième partie fait la synthèse de l’enquête de terrain dans des sites de rapatriés et présente quelques recommandations. La quatrième partie est un argumentaire élaboré sur la base des enseignements de l’étude, dont l’objet est de constituer un contrepoids aux stéréotypes basés sur le genre.