La violence verbale est utilisée pour intimider, pour humilier ou pour contrôler une autre personne. Elle peut être employée de façon subtile ou au contraire, être très directe. Voici quelques exemples :
- Insulter en utilisant un langage grossier et injuriant.
- Crier et élever la voix.
- Blâmer et reprocher les faits et gestes d’une personne.
- Critiquer et user de railleries ou de propos humiliants.
Ce document présent le dossier de l’UNESCO Avril-juin 2011. Dénoncer la tyrannie, combattre l’esclavage dissimulé, rompre les entraves séculaires à la liberté des femmes, voici quelques-unes des préoccupations des femmes d’exception qui prennent la parole dans ce numéro du Courrier de l'UNESCO : Championne de la cause des femmes : Michelle Bachelet (Chili) Femmes à la conquête de l'espace politique Inscrire le Kirghizstan sur la mappemonde : Roza Otunbayeva Une question d’engagement : Michaëlle Jean (Canada) Crime sans châtiment : Aminetou Mint El Moctar (Mauritanie) Maman Maggy et ses 20 000 enfants : Maggy Brankitse (Burundi) Peur de rien : Sultana Kamal (Bangladesh) Une avocate à la peau dure : Asma Jahangir (Pakistan) Droits affichés, libertés confisquées : Sana Ben Achour (Tunisie) Maintenant ou jamais : Italie Tenir tête à la tyrannie : Mónica González Mujica (Chili) Patience, on y arrivera : Humaira Habib (Afghanistan) Une lente conquête du marché du travail : Algérie L’égalité des genres : un bien public mondial La femme est l'avenir de Davos Semer les graines de l’avenir : Lorena Aguilar (Costa Rica) Étoiles de ma galaxie personnelle : Luisa Futoransky (Argentine).
Ce document présente les résultats d’une étude de terrain sur l’inégalité de genre et pratiques d’entreprises au Maroc, réalisée par le Bureau international du Travail, dans le cadre d’un programme pilote destiné à promouvoir l’égalité des femmes au Maroc. Cette étude expose les enjeux de l’égalité des travailleuses au Maroc d’après une analyse des facteurs explicatifs de ces inégalités tant au plan socio-économique que démographique. De façon générale, ce document de travail inclut, là où c’était possible et pertinent, des éléments de comparaison avec le reste des pays arabes.
Ce document présente un rapport sur trois études récentes portant sur le genre, le travail et la protection sociale au Maroc et traitent la question de l’égalité entre les travailleuses et les travailleurs. La première a été réalisée en 2011-2012 par la coopération allemande GIZ au sujet de la « réglementation du travail et la participation des femmes au marché du travail au Maroc ». Elle a pour objet d’examiner à travers le droit en vigueur l’application du principe de l’égalité dans l’emploi et la profession aux travailleurs et travailleuses. La seconde étude a été réalisée dans le cadre d’un programme pilote du Bureau International de Travail (BIT) visant à promouvoir l’égalité des femmes. Cette étude expose le contexte juridique et socio-économique de l’égalité des travailleuses et les résultats d’une enquête sur les stéréotypes, préjugés et autres facteurs qui contribuent à concentrer les femmes dans certains emplois à prédominance et identifient des pratiques de gestion des ressources humaines qui entretiennent les discriminations à l’égard des femmes. La troisième étude a été réalisée en 2014 pour le Ministère de l’Emploi et des Affaires sociales avec l’appui d’ONU FEMMES et porte sur l’amélioration de la connaissance selon le genre du système de protection sociale