La violence verbale est utilisée pour intimider, pour humilier ou pour contrôler une autre personne. Elle peut être employée de façon subtile ou au contraire, être très directe. Voici quelques exemples :
- Insulter en utilisant un langage grossier et injuriant.
- Crier et élever la voix.
- Blâmer et reprocher les faits et gestes d’une personne.
- Critiquer et user de railleries ou de propos humiliants.
Ce rapport présente une liste non-exhaustive des priorités et pratiques recommandées pour les parlements. Elles ont été identifiées comme les principaux éléments et stratégies susceptibles de faire reculer la violence envers les femmes lors de la Conférence internationale Une réponse parlementaire à la violence contre les femmes, tenue à Genève, en décembre 2008, sous l’égide de l’Union Inter parlementaire.
Le programme s’inscrit dans les résultats D du Cadre d’assistance des Nations Unies (UNDAF) du Maroc pour la période 2007-2011 relatif à l’atteinte de «progrès significatifs en matière d’égalité de genre, de protection des droits des femmes et des filles et de participation à la vie publique, politique, économique, sociale et culturelle». Il vise à prévenir et à protéger les femmes et les filles de toutes formes de violences (physique, verbale, psychologique, sexuelle, trafic, économique) en faisant le lien avec leur état de pauvreté et de vulnérabilité. Le programme met l’accent sur les processus de planification, de programmation et de budgétisation sensible au genre et sur la promotion d’une culture de l’égalité à même de transformer les rapports sociaux de genre. Il appuie les efforts du Maroc dans la promotion des Droits Humains des Femmes et des Filles (DHFF) et s'inscrit dans l’évolution du pays vers la démocratie, la modernisation, les avancées en matière de
décentralisation et enfin l’Initiative Nationale de Développement Humain (INDH).
Ce document présente un résumé du rapport de l’OMCT “Violence contre les femmes au Yémen”, soumis au Comité des droits de l’homme des Nations Unies en 20021.Dans le cas du Yémen, l’OMCT constate avec une grande préoccupation la persistance de la violence à l’égard des femmes au sein de la famille, de la collectivité et perpétrée par les agents gouvernementaux.