La violence verbale est utilisée pour intimider, pour humilier ou pour contrôler une autre personne. Elle peut être employée de façon subtile ou au contraire, être très directe. Voici quelques exemples :
- Insulter en utilisant un langage grossier et injuriant.
- Crier et élever la voix.
- Blâmer et reprocher les faits et gestes d’une personne.
- Critiquer et user de railleries ou de propos humiliants.
C’est une vidéo de 40 secondes qui illustre une femme qui supplie son fils pour lui donner la permission de voyager dans le cadre de son emploi. En Arabie saoudite, les femmes sont soumises à un système opprimant de tutelle masculine. Même pour voyager, elles ont besoin d’obtenir l’autorisation d’un homme, que ce soit son mari, son fils ou un autre « tuteur », comme l’illustre ce clip.
Ce document présente le rapport narratif final sur le programme de lutte contre les violences sexistes à travers le renforcement du statut des femmes et des jeunes filles au Maroc. Ce Rapport est rédigé par l’équipe en charge du programme conjoint et constitue une revue du programme menée par le Comité de Gestion du programme et du Comité National de Pilotage afin d’examiner les résultats obtenus au regard des objectifs initialement identifiés. Le rapport comporte cinq sections. Section I : fournit une brève introduction sur le contexte socio-économique et les problèmes de développement abordés par le programme commun, et énumère les objectifs du programme. Section II : présente une évaluation des résultats du programme conjoint. Section III : décrit les bonnes pratiques et les leçons apprises à travers le programme conjoint. Section IV : porte sur la situation financière du programme commun. Section V : présente les commentaires et / ou informations supplémentaires
Ce document présente le Rapport du Groupe de travail sur l’élimination de la discrimination à l’égard des femmes dans la législation et dans la pratique-mission en Tunisie. Dans ce rapport, le Groupe de travail donne un aperçu de la problématique de l’égalité entre les femmes et les hommes et des droits fondamentaux des femmes dans ce pays, en particulier dans le contexte du processus de transition en cours; il présente le cadre juridique de l’égalité entre les sexes et des droits fondamentaux de la femme ainsi que les réalisations accomplies et les domaines où des progrès restent à faire et examine le cadre institutionnel et politique de la promotion de l’égalité et de la non-discrimination. Il aborde ensuite la question de l’autonomisation des femmes marginalisées. Le Groupe de travail met en outre en lumière les bonnes pratiques dans la promotion de l’égalité et l’élimination de la discrimination et présente, en conclusion, ses observations et recommandations.