La violence verbale est utilisée pour intimider, pour humilier ou pour contrôler une autre personne. Elle peut être employée de façon subtile ou au contraire, être très directe. Voici quelques exemples :
- Insulter en utilisant un langage grossier et injuriant.
- Crier et élever la voix.
- Blâmer et reprocher les faits et gestes d’une personne.
- Critiquer et user de railleries ou de propos humiliants.
Ce document présente une étude sur la violence à l’égard des femmes en Tunisie- les lois de genre. Cette étude vise à analyser les violences à l’égard des femmes dans le contexte de la Tunisie contemporaine, caractérisée depuis l’indépendance du pays par un paradoxe : d’une part, la prégnance du modèle patriarcal, réinterprété et réactualisé dans les structures modernes du politique et de l’économique, d’autre part, la conquête par les Tunisiennes d’une nouvelle place sociale et de nouveaux droits politiques, économiques, sociaux et culturels.
Ce document présente les résultats d’une étude de terrain sur l’inégalité de genre et pratiques d’entreprises au Maroc, réalisée par le Bureau international du Travail, dans le cadre d’un programme pilote destiné à promouvoir l’égalité des femmes au Maroc. Cette étude expose les enjeux de l’égalité des travailleuses au Maroc d’après une analyse des facteurs explicatifs de ces inégalités tant au plan socio-économique que démographique. De façon générale, ce document de travail inclut, là où c’était possible et pertinent, des éléments de comparaison avec le reste des pays arabes
Ce document présente un article sur l’Instauration d’un cadre juridique et institutionnel sur les droits de la femme- A la recherche de l’égalité entre hommes et femmes en république de Djibouti. Cet article a montré que la femme adulte et la jeune fille font toujours l’objet de discrimination et la violence, lesquels ont changé de forme sur le plan du travail, du respect de ses droits par les agents de des administrations publiques et privées. Les violences domestiques dont les mineures/mineurs sont aussi victimes ne sont pas criminalisées de façon explicite et le viol conjugal n’est pas criminalisé. Les violences domestiques sont très répandues à Djibouti et rarement dénoncées. De telles violences sont souvent réglées dans le cadre familial ou traditionnel et encore un grand nombre de femmes et de filles ne dénoncent pas. Dans une société matriarcale, la recherche de l’égalité entre femmes et hommes s’affronte toujours à des obstacles psychologiques et sociaux à surmonter en peu de temps